Mahomet et les quatre premiers califes

Mahomet et les quatre premiers califes

Charia En Marche


Quand ils ont réclamé des menus halal (et sans porc) à la cantine, je n'ai rien dit : ce n'était qu'une préférence alimentaire.

Quand ils ont réclamé le port du hijab (ou voile) pour les femmes, je n'ai rien dit : ce n'était qu'un choix vestimentaire.

Quand ils ont réclamé le port du burkini à la plage, je n'ai rien dit : ce n'était qu'un souci de décence.

Quand ils ont réclamé la construction de nombreuses mosquées, je n'ai rien dit : ce n'était que des lieux de culte, comme il y en avait aussi pour nous.

Quand ils ont réclamé que ces mosquées soient surmontées de minarets, je n'ai rien dit : ce n'était qu'un style architectural.

Quand ils ont réclamé des pauses pour la prière pendant la journée de travail, je n'ai rien dit : ce n'était que pour les rendre plus efficaces ensuite.

Quand ils ont réclamé des jours fériés liés à leurs fêtes religieuses, je n'ai rien dit : ce n'était que l'équivalent de nos jours fériés de culture catholique.

Quand ils ont réclamé le financement du pèlerinage à La Mecque par les comités d'entreprise, je n'ai rien dit : mon entreprise n'était pas concernée.

Quand ils ont réclamé l'appel du muezzin dans les rues cinq fois par jour, je n'ai rien dit : en gardant mes fenêtres fermées, je ne l'entendais presque pas.

Quand ils ont réclamé le statut de langue officielle pour l'arabe, je n'ai rien dit : le français restait aussi langue officielle.

Quand ils ont réclamé la révision des manuels scolaires pour les rendre conformes au Coran, je n'ai rien dit : de toute façon, les élèves n'apprennent plus rien à l'école.

Quand ils ont institué la charia (ou loi islamique) en France, je n'ai rien dit : en démocratie, l'avis de la majorité prévaut sur celui de la minorité.

Quand ils ont exigé que je me convertisse à mon tour, je n'ai rien pu dire : il n'y avait plus que des musulmans autour de moi. 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire